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Le soir. Les quatre sont à table.

TAC DICO: Ces frites sont excellentes.

ALFREDO: Zé préfère les spaghettis.

M'BONGO: Ouarff! Miam! Grmm! Ouarff! Miam! Miam! Ouarff!

DICK TACO: M'Bongo a des drôles d'idées. Il essaie de faire fondre ses frites dans du whisky...


Le lendemain matin. Chez nos amis, tout dort.

DICK TACO: Ouaaaah!

DICK TACO: Tac! Tac! Au secours!

M'BONGO: Ah! ah! ah! ah! ah! ah!

Tac Dico entre à ce moment.

DICK TACO: Regarde! Il a lancé son poignard sur moi! Il s'est planté à deux centimètres de mon oreille!

M'BONGO: Ah! ah! J'ai fait une farce! J'ai fait une farce!

TAC DICO: Il plaisantait.

M'BONGO: Ce matin, il est venu un casse-pied.

TAC DICO: Ah oui ? Tu as répondu ?

M'BONGO: Et comment! Je l'ai jeté en bas des escaliers.

TAC DICO: Tu as fait cela ?

M'BONGO: Bien sûr. Il m'avait insulté.

TAC DICO: Il t'a insulté ?

M'BONGO: Oui. Il est d'abord venu habillé de façon bizarre. Pantalon et veste noire, avec une grosse ceinture, un képi... et il portait aussi un sifflet...

DICK TACO: Je crois qu'on va avoir des ennuis...

M'BONGO: Il m'a dit de m'habiller comme tout le monde. Alors, je lui ai dit que c'était lui qui portait une tenue ridicule. Alors, il m'a insulté.

TAC DICO: Il t'a insulté!

M'BONGO: Oui! Il m'a traité de « Sivoucontinuéjemenvévoumètrentol ». Je ne sais pas ce que ça veut dire, mais j'ai tout de suite compris qu'il s'agissait d'une insulte.

ALFREDO, arrivant: Bonzour! Zé vou lé cornichon dont vous parlez. Il criait en bas des escaliers. Alors, zé loui ai zété oun seau d'eau.

TAC DICO: Tout cela est embêtant! Mais viens parler affaire, M'Bongo...




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