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Un matin, dans un couloir du journal Wigwam.

TAC DICO, un balai à la main: Eh! Dick, regarde l'affiche!

Affiche: On demande un reporter-photographe malin et débrouillard.

DICK TACO: C'est ce qu'il nous faut. Courons voir le directeur.


Un peu plus tard, dans le bureau du directeur.

LE DIRECTEUR: Mais oui, mais oui! Je sais bien que vous avez toutes les qualités... Mais ce n'est pas les reporters qui manquent. Faites vos preuves. Faites un reportage sensationnel.


Quelques jours après.

TAC DICO: Hé! hé! hé!

DICK TACO: Hé! hé! hé!

TAC DICO: Tu as une idée ?

DICK TACO: Bien sûr. Hé! hé! Et toi ?

TAC DICO: Bien sûr. Hé! hé!

TAC DICO et DICK TACO: Hé! hé! hé!

TAC DICO: Demain, on entendra parler de moi.

DICK TACO: Rira bien qui rira le dernier... À moi la place de reporter!

TAC DICO: Tu veux dire: à moi! J'ai une idée formidable. Au fait, j'ai à faire à l'aérodrome.

Il sort.

DICK TACO: À l'aérodrome ? Il m'intrigue. Oh! il a perdu une lettre! Voyons.

Lettre: Bazzarville, le 6 juillet 1961. Chair hammi, geu raipon a vot apppelle. Geâhrivve par la vion deu di zeurs, le 15 zuillié. M'Bongo.

DICK TACO: Voilà pourquoi il se rendait à l'aérodrome. Mais qui est-ce, celui-là ? Pas fort en orthographe... Mais allons chercher mon cousin à la gare. Hé! hé! hé!




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